Quatrième de couverture

Madame Frosheart et Amanda, emprisonnés dans l’univers d’Oniria, continuent leurs voyages délirants à travers les rêves humains. Développant leur complicité, elles commencent à exploiter leurs super-pouvoirs afin d’agir sur leurs destinées et sur celles des autres.

Chronique

Il y a des rêves qui font voyager. D’autres qui reproduisent une journée harassante. Qu’en est-il de ces rêves d’évasion qui réveillent la sensualité? Des rêves multiples? Ceux qui nous laissent des souvenirs difficiles à définir? Ceux qui laissent de drôles d’impressions?

Oniria – Révolution nous entraine dans un monde fantastique. Un monde où le rêve interfère avec la réalité. Un monde où Ornac domine le reste du monde. Où elle domine les humains en entrant dans leurs rêves. Un rêve qui, de plus en plus, s’enfonce dans le cauchemar. C’est le cas de deux femmes que tout sépare et que le rêve réunit. Dans ce rêve-cauchemar. Dans ce rêve-révélations. Vont-elles survivre à ces délires?

Les planches sont superbes et très colorées. Au fil des pages, les couleurs douces laissent la place aux couleurs fortes, profondes, qui marquent la frontière entre le rêve et le cauchemar bien qu’il soient tous les deux sensuels. Un cauchemar qui n’en finit pas de s’installer. Finira t-il par emprisonner les deux femmes? Se pourrait-il qu’elles soient phagocytées par les personnages fantastiques?

Note 16/20

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